Coopération entre la JOCI & WSM

Le vendredi 15 février dernier, les membres de l’équipe du Secrétariat international (SI) se sont réunisalt avec des représentants de Solidarité Mondiale (WSM) dans le cadre du processus d’intégration des nouveaux membres du SI. La rencontre a eu lieu dans les bureaux de la JOCI à Schaerbeek (Belgique).

Les représentants de WSM étaient Bart, Ben et Jeroen. Bart et Ben sont responsables du département action internationale de WSM tandis que Jeroen est coordinateur du programme de coopération nord-sud.  Tous les membres du SI, nouveaux et sortants, étaient présents lors de la réunion.

Deux points stratégiques étaient inclus à l’ordre du jour : l’action politique internationale et le programme de coopération entre WSM et la JOCI.

La JOCI et WSM ont convenu de renforcer leur coopération stratégique en matière d’action politique au niveau international et de consolider l’organisation au niveau national. Cette coopération sera mise en œuvre dans le cadre de notre campagne en faveur de la protection sociale et dans le cadre de nos actions en faveur d’un travail juste pour les jeunes travailleurs et de l’égalité entre les genres, un thème transversal au sein de notre organisation.

Plus concrètement, la JOCI et WSM ont convenu de participer ensemble aux Conférences internationales du Travail (CIT) et autres forums internationaux.

Il s’agit d’une mise en œuvre des conclusions du 13e Conseil international de la JOCI réuni à Accra (Ghana) en août 2012. Le Conseil international a adopté quatre thèmes de campagne, à savoir la protection sociale, un travail juste, l’égalité entre les genres et une éducation de qualité.

Plus que tout, le Secrétariat international espère que cette collaboration aura un impact positif sur la campagne au niveau des mouvements nationaux jusqu’à la base.

 

La JOC Europe développe une vision continentale

Les mouvements nationaux de la JOC Europe se réunissent du 11 au 13 févjoceurope meetingrier à Bruxelles pour planifier un travail collectif au niveau européen. Des responsables de la JOC flamande, de la JOC wallonne et de la JOC allemande participent à la réunion.

Le but de la rencontre, coordonnée par Sarah Prenger, membre de l’Equipe européenne, est d’élaborer un plan concret en vue de la tenue d’un séminaire et d’un échange sur le travail précaire au niveau européen.

Le travail précaire est un problème épineux en Europe, surtout pour les jeunes. Ils sont forcés d’accepter de travailler dans de piètres conditions à cause de l’absence de possibilités d’emplois.

En Wallonie, les jeunes chômeurs subissent des pressions du gouvernement pour qu’ils trouvent un emploi ; autrement, ils perdront leurs allocations de chômage. Par ailleurs, ils sont accusés par la société d’être des paresseux. L’impact de ces conditions est que les jeunes chômeurs entrent en concurrence pour obtenir les quelques emplois disponibles sur le marché et beaucoup de jeunes sont engagés pour effectuer des travaux dangereux, parfois même dans des conditions proches de l’esclavage.

La JOC d’Egypte lutte contre le harcèlement sexuel

L’équipe internationale de la JOCI a eu le plaisir d’accueillir Sabah Eskandar, une ancienne jociste égyptienne, qui a rendu visite au secrétariat international à Bruxelles ce samedi 9 février.

Lors de sa visite, Sabah était accompagnée par Milad Mikhael, un ancien membre de l’équipe internationale pour le continent africain (1998-2002), et par George, un militant égyptien.

La rencontre, qui a duré deux heures, a été l’occasion de discuter de la situation que connaissent aujourd’hui l’Egypte et la JOC en cette période d’après- révolution.  Sabah a expliqué que dans tous les domaines de la vie, les conditions en Egypte n’étaient pas très stables. Le changement de gouvernement n’a pas donné lieu à une amélioration majeure de la situation sur le plan social et politique. Les prix des produits sont plus élevés et la population souffre de plus en plus.

L’influence des Frères musulmans sur le leadership du Président Morsi est très forte. Le gouvernement égyptien a donc tendance à vouloir imposer les principes de la loi islamique, la charia.

Stop aux abus contre les travailleurs intérimaires

Action sur le travail intérimaire en Flandre, Belgique

 « Terminus intérim. Stop aux abus contre les travailleurs intérimaires ». Tel était le thème de l'activité publique organisée par la KAJ (JOC flamande) à Ostende en présence des responsables des différentes régions. Le but de l'événement était de dénoncer la réalité et la violence subies par les jeunes qui sont à la recherche d'emploi dans les agences d'intérim et voient leurs rêves et leurs attentes s'envoler.

La plupart de ces jeunes viennent de terminer leurs études secondaires ou universitaires, ont abandonné l'école ou ont peu de qualifications, et ils se tournent vers les agences d'intérim pour qu'elles les aident à trouver un emploi. Dans de nombreux cas, les jeunes rencontrent des difficultés lorsqu'ils s'adressent à ces agences et la KAJ veut attirer l'attention de la société, des autorités politiques, des syndicats et des agences elles-mêmes. La JOC flamande a contacté la presse locale et nationale pour expliquer ses objectifs et présenter la réalité des jeunes travailleurs. Elle a mené une enquête auprès des jeunes sur leur réalité, et elle a commencé à organiser des actions, entre autres l'événement du 2 juin.

Le Secrétariat international de la JOCI a participé à l'action d'Ostende. Arlindo de Oliveira, le trésorier international, était présent et a recueilli quelques témoignages de jeunes qui lui ont décrit leurs principaux problèmes.

Des jeunes travailleurs sous pression

Riensje, une coordinatrice régionale de la KAJ, et d'autres militants responsables de l'activité d'Ostende ont expliqué: « Les jeunes qui quittent l'école ont du mal à trouver un emploi. Ils sont soumis à des pressions. Tout d'abord de la part des agences lorsqu'elles leur disent qu'ils n'ont pas les qualifications nécessaires pour travailler pour elles. Alors les jeunes rentrent chez eux mais quand ils arrivent à la maison, leur famille ne les croit pas, elle dit qu'ils ne cherchent pas de travail, ou comme les agences, elle doute de leurs capacités. Cela ne les aide sûrement pas, cela ne les encourage pas ».

Riensje a ajouté: « Aujourd'hui c'est très difficile de trouver un boulot, et quand tu travailles pour une agence d'intérim, c'est dur aussi, à cause du manque de stabilité, du contrat de courte durée et du salaire peu élevé ».

Xander et Jurgen, deux jeunes travailleurs membres de la KAJ, ont expliqué comment les agences les traitent. « Après s'être inscrit à l'agence, tu dois attendre qu'ils y aient des emplois vacants. Parfois, ils t'appellent et quand tu arrives, le poste n'est plus vacant. Dans d'autres cas, ils t'appellent et te demandent si tu es intéressé par un travail mais tu dois commencer le jour suivant, sans avoir le temps de te préparer. Malheureusement tu es obligé de dire 'oui'. » Les jeunes ont le sentiment d'être totalement dépendants des agences. Ils ont du mal à faire des projets dans leur vie et à s'organiser. Ils doivent être tout le temps disponible, même pour un contrat de quelques heures.

La KAJ avait préparé une présentation dynamique sur les principaux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes qui se tournent vers les agences. Des jeunes jocistes ont interprété une petite pièce de théâtre. Après la présentation, un jeune du public est monté sur scène, a pris le micro et a donné son témoignage: « Je suis allé dans une agence pour chercher du travail. J'étais prêt à travailler, mais après avoir signé le contrat, l'agence l'a annulé. Elle m'a dit que je pouvais travailler pour une autre entreprise, mais c'était dans une autre ville, à soixante kilomètres de là. J'ai dit que je n'avais qu'un vélo et que je ne pouvais donc pas travailler dans une autre ville. Ils ne m'ont pas donné d'autre alternative et jusqu'à présent, je suis toujours sans emploi. »

Une situation précaire confirmée par les institutions internationales

L'action sur le travail intérimaire a eu lieu en même temps que la Conférence de l'OIT à laquelle participe la JOCI à Genève. En 2012, l'un des thèmes majeurs de la conférence est précisément l'emploi des jeunes. Selon l'OIT, « le taux mondial du chômage des jeunes pour 2012 reste bloqué à son plus haut niveau de la crise et ne devrait pas redescendre avant 2016 au moins ». L'OIT constate également que « le recours aux contrats temporaires pour les jeunes travailleurs a pratiquement doublé depuis que la crise économique a éclaté ».

Les études de l'Organisation de Coopération et Développement Économiques (OCDE) confirment les témoignages et la situation expliquée par ces jeunes travailleurs. Elles montrent que les problèmes auxquels ils sont confrontés existent depuis longtemps. « En 2002, la moitié des jeunes belges ont quitté l’école avant 21 ans et demi. La durée de la transition de l’école à l’emploi est d’un peu plus d’un an mais il faut près de trois ans pour accéder à un emploi stable. Si une grande majorité des jeunes âgés de 15 à 24 ans ont un emploi un an après la fin de leurs études, il s’agit pour environ 40 % d’entre eux d’un emploi temporaire et pour un peu plus de 20 % d’entre eux d’un emploi à temps partiel. Ces proportions sont importantes mais restent dans la norme des jeunes Européens. Après la fin des études, les perspectives divergent très vite selon le sexe. Les jeunes femmes, même les plus diplômées d’entre elles, occupent beaucoup plus fréquemment un emploi atypique ou à bas salaire que les jeunes hommes et l’écart augmente avec l’âge. »

D'autres enquêtes récentes nous fournissent des informations sur la situation après la crise internationale. Dans le cas spécifique de la Belgique, un article intéressant rédigé par Robert Plasman explique: « La crise économique a eu des effets dramatiques sur le chômage des jeunes. Cela se reflète aussi dans la diminution du taux d'emploi dans la tranche d'âge des 15-19 ans, mais on le remarque également dans le groupe des 25-29 ans. Pour la tranche d'âge des 15-24 ans, le chômage a augmenté de 18% entre juin 2009 et juin 2008, comparé à 11% pour le groupe des plus de 25 ans. Le rapport chômage des jeunes/population est passé à 12,4% pour la tranche d'âge des 20-24 ans en 2010, alors qu'il n'était que de 8,6% en 2008. Ce chiffre est pratiquement similaire pour le groupe des 25-29 ans. Ces données agrégées cachent d'énormes différences entre les régions de Belgique, et également entre les sexes. »

Ensemble nous pouvons et nous allons changer les choses

Stefaan Degryse, coordinateur national de la KAJ, explique: « L'activité réalisée à Ostende fait partie d'une campagne nationale. La KAJ a déjà organisé des activités analogues dans plusieurs régions de Belgique, par exemple à Alost, et elle fera la même chose à Anvers et à Gand. Il s'agit d'étapes qui déboucheront sur un événement national qui aura lieu à Bruxelles en novembre 2012. » Lorsque nous avons demandé à Stefaan pourquoi la KAJ avait lancé cette campagne, il a répondu: « Je vois des jeunes travailleurs qui doivent se battre pour trouver un emploi à cause de la façon dont les agences d'intérim les traitent. Les conséquences sont graves pour beaucoup de jeunes: leurs familles ou leurs amis ne croient pas qu'ils cherchent vraiment du travail. Certains les traitent de 'paresseux'. Ils ne peuvent pas épargner d'argent pour se construire un avenir heureux, par exemple ils ne peuvent pas obtenir de prêt pour acheter une maison. Alors ils doivent continuer à habiter chez leurs parents. Je crois que les jeunes travailleurs sont assez forts pour relever ces défis, la tête haute. Ensemble nous pouvons et nous allons changer les choses. »

La JOCI soutient fortement l'action menée par la KAJ. Le mouvement international poursuit son combat en faveur des droits des jeunes travailleurs. Nous continuons à renforcer nos actions et notre campagne internationale en faveur de la « Protection sociale – pour un travail décent, une éducation de qualité et l'égalité entre les genres dans la société ».

Des défis à relever

En se basant sur cette campagne, la JOCI a identifié des défis à relever pour améliorer les conditions des jeunes et leur garantir une protection sociale.

  • Les agences d'intérim devraient respecter les droits des demandeurs d'emploi et améliorer la façon dont elles les traitent.

  • Le secteur privé a un rôle important à jouer, surtout en respectant les lois du pays qui énoncent les droits des jeunes travailleurs. Il doit créer des possibilités d'emploi et offrir des contrats de longue durée aux jeunes sans passer par des intermédiaires, comme le préconise la campagne sur un travail décent promue par la JOCI et d'autres institutions internationales.

  • Les États doivent jouer un rôle majeur en améliorant les capacités des jeunes par le biais de la formation, de cours techniques et d'autres moyens. Ils devraient créer des possibilités d'emploi qui contribueront au développement de la société et des jeunes. Il convient de noter que les politiques d'austérité actuelles rendent difficile la création d'emplois dans les pays. Les États doivent également défendre leurs citoyens dans l'intérêt commun. Par conséquent, ils doivent réglementer le système et la façon de traiter les jeunes travailleurs, et ils doivent assurer des inspections régulières.

La JOCI tiendra son Conseil international au Ghana (Afrique) en août 2012. La KAJ et tous les mouvements affiliés à la JOCI sont invités à y participer. Les jeunes dirigeants des différents pays pourront partager et échanger leurs expériences de lutte et de défense des droits des jeunes travailleurs.

Chaque défi est une opportunité

Peut-être connaissez-vous l’histoire d’un roi d’autrefois qui voulait savoir comment son peuple réagirait s’il était confronté à un défi ou un obstacle. Le roi décida alors de placer un énorme bloc de pierre au milieu d’une route. Puis, il se cacha et regarda pour voir si quelqu’un allait déplacer cette pierre. Quelques-uns des marchands et de ses courtisans les plus riches passèrent et contournèrent simplement le bloc de pierre. Beaucoup parlaient haut et fort, reprochant au roi de ne pas entretenir les routes, mais aucun n’eut l’idée de pousser la pierre hors du chemin.

Arriva alors un paysan transportant un gros sac de légumes. S’approchant de l’énorme pierre, il déposa son fardeau et essaya de pousser la pierre sur le bord du chemin. Après bien des efforts, il y parvint enfin. Alors qu’il reprenait son sac, il remarqua une bourse par terre, à l’endroit où se trouvait auparavant le bloc de pierre. La bourse était remplie de pièces d’or et contenait un petit mot du roi annonçant que l’or était destiné à la personne qui avait déplacé le bloc de pierre.

Dans cette histoire, le paysan s’est retrouvé devant l’obstacle, le défi (le bloc de pierre), il ne s’est pas contenté de le contourner, n’a rien reproché au roi, ne s’est pas débiné mais au contraire, après bien des efforts, il est parvenu à pousser le bloc de pierre sur le bord de la route et a finalement trouvé les pièces d’or. Cette histoire est un exemple classique, elle illustre la façon dont un défi peut se transformer en une opportunité d’améliorer nos conditions de vie et de travail.

Des défis transformés en opportunités par les jeunes travailleurs

Très souvent, les gens de nos communautés parlent de nous en bien. Ils disent que la jeunesse est une période de la vie où l’on n’a pas peur, une période où les jeunes travailleurs sont prêts à relever des défis. C’est vrai dans un sens. L’histoire l’a prouvé. Qu’il s’agisse de la révolution française, de la révolution russe, de la révolution culturelle en Chine, de la révolution cubaine, des révolutions latino-américaines, de la révolution iranienne, de l’effondrement du Mur de Berlin et des changements dans les pays d’Europe de l’Est, ou encore des soulèvements dans les rues du monde arabe aujourd’hui. Oui, tous ces changements importants survenus au cours de l’histoire se sont produits grâce notamment aux actions des jeunes et des jeunes travailleurs. Lors de ces bouleversements de l’histoire, les jeunes ont été amenés à relever des défis, à surmonter des obstacles tels que l’oppression d’un régime, la répression militaire, la faim, le chômage, d’incessants combats… Pourtant, ce sont précisément la nature même et le pouvoir des jeunes à relever des défis qui leur ont donné l’occasion d’obtenir la liberté, la libération, la démocratie, et de meilleures conditions de vie et de travail. Lors de tous ces événements majeurs qui ont provoqué un changement, les jeunes se sont comportés (ils ont agi) comme le paysan de l’histoire. Ils n’ont pas perdu leur temps à simplement parler des obstacles et des défis. Ils ne se sont pas détournés de ces obstacles. Ils n’ont pas blâmé le système, le dirigeant, le roi… Mais ils ont pris conscience qu’il fallait faire face aux obstacles et ils ont agi.

L’attitude de certains d’entre nous face aux obstacles aujourd’hui

 

En tant que travailleurs et en tant que jeunes d’aujourd’hui, nos attitudes et nos réponses peuvent varier lorsque nous sommes confrontés à des obstacles et des défis dans notre vie et sur notre lieu de travail. Nous sommes nombreux à avoir peur de relever les défis et de faire face aux obstacles. À nous contenter d’en parler et d’en discuter. À ne cesser de critiquer les structures, les politiques, les dirigeants. À vouloir nous détourner des obstacles et des défis. Très souvent, nous ne nous rendons pas compte que chaque défi, chaque obstacle qui se présente dans notre vie ou sur notre lieu de travail est pour nous l’occasion d’améliorer nos conditions de vie et de travail.

Lorsque nous analysons notre attitude, nous prenons conscience du fait que le plus grand problème à surmonter est notre peur. C’est l’élément le plus destructeur de notre vie. Comment surmonter cette peur ? Ce n’est possible que si nous regardons l’obstacle en face. Nous pourrions illustrer cela par un exemple. Prenons une personne qui voudrait apprendre à nager. Elle peut connaître tous les aspects théoriques de la natation. Mais le plus grand défi est de sauter dans la piscine et d’apprendre à nager dans la pratique. Le premier obstacle à surmonter est la peur. La peur emplit notre esprit de toute une série de questions négatives. Si je saute, est-ce que je serai en danger ? Est-ce que je ne vais pas me noyer ? Si la personne n’arrête pas de ressasser ces questions, elle ne sautera jamais dans la piscine et n’apprendra jamais à nager. La peur nous empêche de relever les défis et de voir les opportunités qu’ils représentent pour nous. Ce n’est qu’à travers l’action qu’un défi peut être relevé, qu’un obstacle peut être surmonté et se transformer en opportunité.

Références positives

 La lecture de la bible nous aide à découvrir un tas de références positives où des défis sont transformés en opportunités. Très souvent, nous disons, « c’est impossible ». La bible dit, « ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu »  (Luc 18:27). Nous disons, « je ne peux plus continuer ». La bible dit, « ma grâce te suffit » (2 Corinthiens 12:9 et Psaume 91:15). Nous disons, « je ne peux pas faire ça ». La bible dit, « Je puis tout » (Philippiens 4:13). Nous disons, « je ne suis pas assez intelligent », la bible dit, « vous êtes en Jésus Christ qui a été fait pour nous sagesse » (1 Corinthiens 1:30).

Lorsque nous sommes confrontés à des obstacles et des défis, lorsque nous sommes envahis par la peur et l’inquiétude, lorsque nous commençons à perdre espoir, alors pensons à ce qu’a fait le paysan dans notre histoire. Il n’a jamais abandonné et est parvenu à déplacer l’énorme bloc de pierre. Il était convaincu qu’il pouvait le faire. Lorsque nous serons face à des conditions défavorables, pensons aux références de la bible mentionnées ci-dessus. Nous retrouverons l’espoir et la motivation nécessaires pour agir.

« Je crois que les héros sont ceux qui font ce qui doit être fait, quand cela doit être fait, quelles qu’en soient les conséquences. »

- Auteur inconnu

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